NEW YORK – S’exprimant depuis Volvograd, l’ancienne Stalingrad, le président russe Vladimir Poutine en appelait récemment aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale pour justifier son invasion de l’Ukraine. « Sans relâche, nous devons repousser l’agression du bloc occidental », a-t-il déclaré, le visage fermé, se gardant de rappeler que le Royaume-Uni et les États-Unis étaient durant la guerre les alliés de l’Union soviétique. Aujourd’hui, comme autrefois, la Russie serait menacée par les chars allemands, et contrainte de se défendre contre « l’idéologie nazie sous sa forme moderne ».
NEW YORK – S’exprimant depuis Volvograd, l’ancienne Stalingrad, le président russe Vladimir Poutine en appelait récemment aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale pour justifier son invasion de l’Ukraine. « Sans relâche, nous devons repousser l’agression du bloc occidental », a-t-il déclaré, le visage fermé, se gardant de rappeler que le Royaume-Uni et les États-Unis étaient durant la guerre les alliés de l’Union soviétique. Aujourd’hui, comme autrefois, la Russie serait menacée par les chars allemands, et contrainte de se défendre contre « l’idéologie nazie sous sa forme moderne ».