MEXICO – Il y a trois ans ce mois-ci, le président mexicain Felipe Calderòn endossait sa tenue de combat et déclarait une guerre frontale au narcotrafic, en donnant l’ordre à l’armée d’investir les rues, les autoroutes et les villages du Mexique. A l’époque, Calderòn avait bénéficié d’un large soutien, tant au Mexique qu’à l’étranger, pour une décision perçue comme courageuse et nécessaire et qui aurait du être prise depuis longtemps. Des résultats tangibles devaient être enregistrés sous peu.
MEXICO – Il y a trois ans ce mois-ci, le président mexicain Felipe Calderòn endossait sa tenue de combat et déclarait une guerre frontale au narcotrafic, en donnant l’ordre à l’armée d’investir les rues, les autoroutes et les villages du Mexique. A l’époque, Calderòn avait bénéficié d’un large soutien, tant au Mexique qu’à l’étranger, pour une décision perçue comme courageuse et nécessaire et qui aurait du être prise depuis longtemps. Des résultats tangibles devaient être enregistrés sous peu.