PRINCETON – À l’époque où l’ancien président mexicain Carlos Salinas de Gortari et son homologue américain Bill Clinton signèrent l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), il y a plus de vingt ans, l’espoir consistait à voir l’économie du Mexique s’intégrer à un avenir caractérisé par une vague croissante de mondialisation. Cette promesse est aujourd’hui tenue à bien des égards.
PRINCETON – À l’époque où l’ancien président mexicain Carlos Salinas de Gortari et son homologue américain Bill Clinton signèrent l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), il y a plus de vingt ans, l’espoir consistait à voir l’économie du Mexique s’intégrer à un avenir caractérisé par une vague croissante de mondialisation. Cette promesse est aujourd’hui tenue à bien des égards.