BARCELONE – Le secteur bancaire traverse des temps bien difficiles. Persistance de faibles taux d’intérêt, accroissement des coûts liés à la conformité réglementaire, et montée en puissance de nouveaux concurrents capables des tirer parti des technologies financières (les fameuses « fintech ») se conjuguent jusqu’à engendrer, notamment en Europe, une surcapacité ainsi qu’une faible rentabilité – et par conséquent incitent vivement aux fusions.
BARCELONE – Le secteur bancaire traverse des temps bien difficiles. Persistance de faibles taux d’intérêt, accroissement des coûts liés à la conformité réglementaire, et montée en puissance de nouveaux concurrents capables des tirer parti des technologies financières (les fameuses « fintech ») se conjuguent jusqu’à engendrer, notamment en Europe, une surcapacité ainsi qu’une faible rentabilité – et par conséquent incitent vivement aux fusions.