CHICAGO – On aurait pu croire que 600 000 commentaires sur une pétition auraient suffi à porter une question en tête de l'ordre du jour de la Securities and Exchange Commission (SEC) des Etats-Unis. Mais l'opinion publique semble n'avoir aucune importance quand la question touche à la divulgation obligatoire des dépenses politiques par les entreprises.
CHICAGO – On aurait pu croire que 600 000 commentaires sur une pétition auraient suffi à porter une question en tête de l'ordre du jour de la Securities and Exchange Commission (SEC) des Etats-Unis. Mais l'opinion publique semble n'avoir aucune importance quand la question touche à la divulgation obligatoire des dépenses politiques par les entreprises.