PARIS – En ayant fait de Poutine son premier invité à Paris alors qu’il était probablement le candidat le moins désiré par le Kremlin, en ayant décidé d’inviter Trump à Paris pour le 14 juillet alors que ce dernier espérait la victoire de Marine Le Pen, Emmanuel Macron a symboliquement planté le décor de la nouvelle politique étrangère française : parler à tout le monde sans occulter la réalité des désaccords, rester ferme sur des principes sans négliger la possibilité de compromis nouveaux, profiter des retraits américains et britanniques pour redonner à la France une place centrale dans la diplomatie internationale, le tout sur fond d’ engagement européen.
PARIS – En ayant fait de Poutine son premier invité à Paris alors qu’il était probablement le candidat le moins désiré par le Kremlin, en ayant décidé d’inviter Trump à Paris pour le 14 juillet alors que ce dernier espérait la victoire de Marine Le Pen, Emmanuel Macron a symboliquement planté le décor de la nouvelle politique étrangère française : parler à tout le monde sans occulter la réalité des désaccords, rester ferme sur des principes sans négliger la possibilité de compromis nouveaux, profiter des retraits américains et britanniques pour redonner à la France une place centrale dans la diplomatie internationale, le tout sur fond d’ engagement européen.