WASHINGTON, DC – Les pays les plus pauvres de la planète sont aujourd’hui dans une situation désespérée, sur laquelle le reste du monde ferme les yeux. Rien de surprenant à cela, dans la mesure où les pays à faible revenu (PFR) influencent peu le destin du monde dans une avenir proche. Fin juin, le PIB combiné des 28 pays composant cette catégorie avoisinait les 500 milliards $ – une goutte dans l’océan d’une économie mondiale représentant 100 000 milliards $. Les pays les plus pauvres ne sont pas non plus des marchés d’exportation idéaux, le revenu annuel moyen y atteignant à peine 1 000 $, et les conflits ainsi que l’instabilité constituant la norme pour près de la moitié d’entre eux.
WASHINGTON, DC – Les pays les plus pauvres de la planète sont aujourd’hui dans une situation désespérée, sur laquelle le reste du monde ferme les yeux. Rien de surprenant à cela, dans la mesure où les pays à faible revenu (PFR) influencent peu le destin du monde dans une avenir proche. Fin juin, le PIB combiné des 28 pays composant cette catégorie avoisinait les 500 milliards $ – une goutte dans l’océan d’une économie mondiale représentant 100 000 milliards $. Les pays les plus pauvres ne sont pas non plus des marchés d’exportation idéaux, le revenu annuel moyen y atteignant à peine 1 000 $, et les conflits ainsi que l’instabilité constituant la norme pour près de la moitié d’entre eux.