Quand les Etats-Unis ouvriront-ils enfin les yeux sur la situation en Amérique latine ? L’influence grandissante d’Hugo Chávez, président vénézuélien de gauche, jette un voile sombre sur la région. Si certains pays – comme le Chili, la Colombie et le Costa Rica – restent des régimes démocratiques progressistes et favorables à la croissance, ces derniers mois les alliés de Chávez ont pourtant accédé au pouvoir en Equateur et en Bolivie, et ont failli être élus dans quelques autres. Au Mexique, Andrés Manuel López Obrador, fervent admirateur de Chávez, se serait emparé de la présidence, probablement à vie, s’il avait obtenir le soutien ne serait-ce que de 0,25 % d’électeurs mexicains supplémentaires.
Quand les Etats-Unis ouvriront-ils enfin les yeux sur la situation en Amérique latine ? L’influence grandissante d’Hugo Chávez, président vénézuélien de gauche, jette un voile sombre sur la région. Si certains pays – comme le Chili, la Colombie et le Costa Rica – restent des régimes démocratiques progressistes et favorables à la croissance, ces derniers mois les alliés de Chávez ont pourtant accédé au pouvoir en Equateur et en Bolivie, et ont failli être élus dans quelques autres. Au Mexique, Andrés Manuel López Obrador, fervent admirateur de Chávez, se serait emparé de la présidence, probablement à vie, s’il avait obtenir le soutien ne serait-ce que de 0,25 % d’électeurs mexicains supplémentaires.