CAMBRIDGE – La crise actuelle sera loin de tourner au désavantage des pays en développement. Ils en sortiront grandis, avec du répondant face aux institutions qui régissent la globalisation économique. Une fois la poussière retombée, la Chine, l’Inde, le Brésil, la Corée du Sud et une poignée d’autres pays émergents disposeront d’une influence accrue sur la gestion des institutions multilatérales et occuperont une place plus susceptible de leur permettre de faire passer des réformes en conformité avec leurs intérêts.
CAMBRIDGE – La crise actuelle sera loin de tourner au désavantage des pays en développement. Ils en sortiront grandis, avec du répondant face aux institutions qui régissent la globalisation économique. Une fois la poussière retombée, la Chine, l’Inde, le Brésil, la Corée du Sud et une poignée d’autres pays émergents disposeront d’une influence accrue sur la gestion des institutions multilatérales et occuperont une place plus susceptible de leur permettre de faire passer des réformes en conformité avec leurs intérêts.