PRINCETON – Voici désormais à peine plus de cent ans s’ouvrait à Paris la Conférence de la Paix, qui déboucha sur les traités de Versailles, de Saint-Germain-en-Laye, de Neuilly-sur-Seine, du Trianon et de Sèvres, lesquels mettaient fin à la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui encore, le ressentiment engendré par le traité du Trianon nourrit le nationalisme et le révisionnisme hongrois, et plus encore sous l’actuel gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán.
PRINCETON – Voici désormais à peine plus de cent ans s’ouvrait à Paris la Conférence de la Paix, qui déboucha sur les traités de Versailles, de Saint-Germain-en-Laye, de Neuilly-sur-Seine, du Trianon et de Sèvres, lesquels mettaient fin à la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui encore, le ressentiment engendré par le traité du Trianon nourrit le nationalisme et le révisionnisme hongrois, et plus encore sous l’actuel gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán.