MILAN – L’excès de levier des secteurs financier et immobilier, qui caractérise l’avant-crise américaine, s’est traduit par une bulle d’actifs, dont l’effondrement s’est soldé par des bilans diversement négatifs. Il a fallu, par contrecoup, rétablir la valeur des actifs, bloquer les leviers et assainir les bilans, et on assiste aujourd’hui à la hausse du taux d’épargne, à un déclin important de la demande intérieure et à une forte augmentation du chômage.
MILAN – L’excès de levier des secteurs financier et immobilier, qui caractérise l’avant-crise américaine, s’est traduit par une bulle d’actifs, dont l’effondrement s’est soldé par des bilans diversement négatifs. Il a fallu, par contrecoup, rétablir la valeur des actifs, bloquer les leviers et assainir les bilans, et on assiste aujourd’hui à la hausse du taux d’épargne, à un déclin important de la demande intérieure et à une forte augmentation du chômage.