LONDRES – John Maynard Keynes était un fervent partisan du New Deal mis en œuvre par le président américain Franklin D. Roosevelt. Le chemin vers un avenir civilisé, écrivait-il, devait passer par Washington, pas par Moscou – une formule directement adressée à ces idéalistes, dont certains de ses étudiants, qui plaçaient leur foi dans le communisme.
LONDRES – John Maynard Keynes était un fervent partisan du New Deal mis en œuvre par le président américain Franklin D. Roosevelt. Le chemin vers un avenir civilisé, écrivait-il, devait passer par Washington, pas par Moscou – une formule directement adressée à ces idéalistes, dont certains de ses étudiants, qui plaçaient leur foi dans le communisme.