NAIROBI – Le 27 mars, huit éditorialistes du groupe Nation Media ont démissionné du journal The Nation, invoquant le manque d’indépendance éditoriale. Pour le principal quotidien kényan, le départ de ses meilleures plumes est le dernier coup porté à une réputation déjà ternie. Au cours des mois qui viennent de s’écouler, le journal a connu une série d’épisodes embarrassants, notamment la mise à la porte de certains de ses cadres, des licenciements massifs par la maison mère et des allégations d’ingérence de l’État dans la chaîne éditoriale.
NAIROBI – Le 27 mars, huit éditorialistes du groupe Nation Media ont démissionné du journal The Nation, invoquant le manque d’indépendance éditoriale. Pour le principal quotidien kényan, le départ de ses meilleures plumes est le dernier coup porté à une réputation déjà ternie. Au cours des mois qui viennent de s’écouler, le journal a connu une série d’épisodes embarrassants, notamment la mise à la porte de certains de ses cadres, des licenciements massifs par la maison mère et des allégations d’ingérence de l’État dans la chaîne éditoriale.