ISTANBUL – En ce mois de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, il apparaît nécessaire de réfléchir aux risques majeurs qui se présentent aujourd’hui au monde. Comme l’a récemment fait valoir Michael Spence, le creusement du déficit de sécurité dans l’ordre international – illustration de l’affaiblissement de ce qu’il nous reste de gouvernance mondiale – est rapidement devenu la plus grande menace pour l’économie mondiale. Or, un constat similaire aurait pu être formulé il y a un siècle.
ISTANBUL – En ce mois de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, il apparaît nécessaire de réfléchir aux risques majeurs qui se présentent aujourd’hui au monde. Comme l’a récemment fait valoir Michael Spence, le creusement du déficit de sécurité dans l’ordre international – illustration de l’affaiblissement de ce qu’il nous reste de gouvernance mondiale – est rapidement devenu la plus grande menace pour l’économie mondiale. Or, un constat similaire aurait pu être formulé il y a un siècle.