MÜNICH – L’homme d’État français Georges Clemenceau a eu ce mot célèbre : « La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires ». Aujourd’hui, dans le sillage de la crise de l’euro, on pourrait en dire autant de l’Union européenne, à un moment où elle cherche à se donner un ancrage institutionnel plus solide.
MÜNICH – L’homme d’État français Georges Clemenceau a eu ce mot célèbre : « La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires ». Aujourd’hui, dans le sillage de la crise de l’euro, on pourrait en dire autant de l’Union européenne, à un moment où elle cherche à se donner un ancrage institutionnel plus solide.