CAMBRIDGE – Le mois dernier, dans son discours aux jeunes diplômés de l’Académie militaire américaine de West Point, le président Barack Obama a expliqué considérer que certaines des erreurs les plus couteuses de l’Amérique depuis la Seconde Guerre mondiale avaient résidé non pas dans une démarche de retenue, mais bien dans une « volonté de se précipiter dans un certain nombre d’aventures militaires sans avoir réfléchi aux conséquences. » Bien qu’il soit possible qu’Obama ait raison, ce discours a dans l’ensemble échoué à apaiser les critiques qui l’accusent de passivité et de faiblesse, notamment concernant la Syrie et l’Ukraine.
CAMBRIDGE – Le mois dernier, dans son discours aux jeunes diplômés de l’Académie militaire américaine de West Point, le président Barack Obama a expliqué considérer que certaines des erreurs les plus couteuses de l’Amérique depuis la Seconde Guerre mondiale avaient résidé non pas dans une démarche de retenue, mais bien dans une « volonté de se précipiter dans un certain nombre d’aventures militaires sans avoir réfléchi aux conséquences. » Bien qu’il soit possible qu’Obama ait raison, ce discours a dans l’ensemble échoué à apaiser les critiques qui l’accusent de passivité et de faiblesse, notamment concernant la Syrie et l’Ukraine.