BERLIN – L’Europe est, depuis des centaines d’années, constituée de nations, raison pour laquelle l’unification du continent est une tâche politique aussi compliquée, aujourd’hui encore. Mais le nationalisme n’est pas le principe constructeur de l’Europe ; bien au contraire, il a sans cesse été, et l’est toujours, son principe de déconstruction. C’est le principal enseignement à retenir des progrès spectaculaires enregistrés par les partis populistes opposés à l’Union européenne lors des élections au Parlement européen en mai dernier.
BERLIN – L’Europe est, depuis des centaines d’années, constituée de nations, raison pour laquelle l’unification du continent est une tâche politique aussi compliquée, aujourd’hui encore. Mais le nationalisme n’est pas le principe constructeur de l’Europe ; bien au contraire, il a sans cesse été, et l’est toujours, son principe de déconstruction. C’est le principal enseignement à retenir des progrès spectaculaires enregistrés par les partis populistes opposés à l’Union européenne lors des élections au Parlement européen en mai dernier.