OSAKA – Depuis le terrible tremblement de terre qui a frappé la côte pacifique du Japon à Tohoku le 11 mars 2011, les médias de masse japonais reviennent avec insistance sur l’ampleur des dommages physiques et le nombre de vies perdues. Les diffusions répétées de vidéos traumatisantes du grand tsunami et des dommages subis par les réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi sont désormais gravées dans la mémoire collective japonaise.
OSAKA – Depuis le terrible tremblement de terre qui a frappé la côte pacifique du Japon à Tohoku le 11 mars 2011, les médias de masse japonais reviennent avec insistance sur l’ampleur des dommages physiques et le nombre de vies perdues. Les diffusions répétées de vidéos traumatisantes du grand tsunami et des dommages subis par les réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi sont désormais gravées dans la mémoire collective japonaise.