A première vue, le dernier rapport de la Banque mondiale sur la mondialisation n'est guère surprenant. Tel un mantra, il répète que les pays les plus engagés sur la voie de la mondialisation sont ceux qui bénéficient du meilleur taux de croissance et combattent le mieux la pauvreté. Mais enterré au sein du rapport, se trouve un aveu surprenant : les pays qui se sont intégrés le plus rapidement dans l'économie mondiale ne sont pas toujours ceux qui ont adopté les politiques économiques les plus libérales.
A première vue, le dernier rapport de la Banque mondiale sur la mondialisation n'est guère surprenant. Tel un mantra, il répète que les pays les plus engagés sur la voie de la mondialisation sont ceux qui bénéficient du meilleur taux de croissance et combattent le mieux la pauvreté. Mais enterré au sein du rapport, se trouve un aveu surprenant : les pays qui se sont intégrés le plus rapidement dans l'économie mondiale ne sont pas toujours ceux qui ont adopté les politiques économiques les plus libérales.