LONDRES – Les relations entre les banques londoniennes et leurs régulateurs ne sont pas spécialement au mieux en ce moment. La toute dernière réglementation sur les bonus émise par le Comité européen des superviseurs du secteur bancaire (qui doit bientôt se métamorphoser en Autorité européenne des banques), a laissé ces âmes sensibles de la corbeille heurtés et malaimés. 70% de leur bonus devront désormais être différés. Imaginez ne vivre qu’avec 3 millions de dollars par an, et 7 autres millions qui ne seront payés que si les profits générés se réalisent ? C’est choquant.
LONDRES – Les relations entre les banques londoniennes et leurs régulateurs ne sont pas spécialement au mieux en ce moment. La toute dernière réglementation sur les bonus émise par le Comité européen des superviseurs du secteur bancaire (qui doit bientôt se métamorphoser en Autorité européenne des banques), a laissé ces âmes sensibles de la corbeille heurtés et malaimés. 70% de leur bonus devront désormais être différés. Imaginez ne vivre qu’avec 3 millions de dollars par an, et 7 autres millions qui ne seront payés que si les profits générés se réalisent ? C’est choquant.