CAMBRIDGE – On me demande souvent si la récente crise financière mondiale marque le début de la fin du capitalisme moderne. C'est une question de curieuse, car elle semble présumer qu'il existe une solution de remplacement viable en réserve. La vérité est que, pour le moment au moins, les seules alternatives sérieuses au paradigme dominant anglo-américain d'aujourd'hui sont d’autres formes de capitalisme.
CAMBRIDGE – On me demande souvent si la récente crise financière mondiale marque le début de la fin du capitalisme moderne. C'est une question de curieuse, car elle semble présumer qu'il existe une solution de remplacement viable en réserve. La vérité est que, pour le moment au moins, les seules alternatives sérieuses au paradigme dominant anglo-américain d'aujourd'hui sont d’autres formes de capitalisme.