WASHINGTON – Au moment de la restauration des Bourbon sur le trône de France en 1815, Talleyrand, le diplomate français, aurait dit que les Bourbon "n'ont rien appris et rien oublié". Dix ans après le début de la guerre d'Irak, la question est de savoir si quiconque - qu'il s'agisse des Américains, des Irakiens, des Iraniens ou des Etats arabes - a retenu quoi que ce soit de cette terrible expérience.
WASHINGTON – Au moment de la restauration des Bourbon sur le trône de France en 1815, Talleyrand, le diplomate français, aurait dit que les Bourbon "n'ont rien appris et rien oublié". Dix ans après le début de la guerre d'Irak, la question est de savoir si quiconque - qu'il s'agisse des Américains, des Irakiens, des Iraniens ou des Etats arabes - a retenu quoi que ce soit de cette terrible expérience.