ISTANBUL – C’était en 2007. Je me rendais en voiture avec le président palestinien Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien d’alors, Shimon Peres à la Grande Assemblée nationale de Turquie. Durant leur visite historique à Ankara, les deux dirigeants, dont j’avais le privilège d’être l’hôte, s’adressèrent au Parlement turc, plaidant en faveur de la paix et d’une solution à deux États. C’était seulement deux ans après que la Turquie avait lancé l’initiative Industrie pour la paix, afin d’œuvrer à la réhabilitation de la zone industrielle d’Erez à Gaza. Quand mes homologues palestinien et israélien et moi-même avions apporté notre soutien à cette initiative, nous étions optimistes et pensions que le développement de l’économie palestinienne ouvrirait la voie à la construction d’une paix durable dans la région.
ISTANBUL – C’était en 2007. Je me rendais en voiture avec le président palestinien Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien d’alors, Shimon Peres à la Grande Assemblée nationale de Turquie. Durant leur visite historique à Ankara, les deux dirigeants, dont j’avais le privilège d’être l’hôte, s’adressèrent au Parlement turc, plaidant en faveur de la paix et d’une solution à deux États. C’était seulement deux ans après que la Turquie avait lancé l’initiative Industrie pour la paix, afin d’œuvrer à la réhabilitation de la zone industrielle d’Erez à Gaza. Quand mes homologues palestinien et israélien et moi-même avions apporté notre soutien à cette initiative, nous étions optimistes et pensions que le développement de l’économie palestinienne ouvrirait la voie à la construction d’une paix durable dans la région.