AUSTIN – Deux jours après les élections américaines de mi-mandat, le Financial Times évoquait un ralentissement de l’inflation aux États-Unis, un enthousiasme des marchés, et la possibilité de voir désormais la Fed lâcher du lest dans sa démarche de hausse des taux d’intérêt – un timing stratégique, l’augmentation des prix pétroliers ayant pris fin en juin, et les variations des prix étant dans l’ensemble restées faibles depuis le mois de juillet. L’élection achevée, il est désormais raisonnable d’admettre les faits.
AUSTIN – Deux jours après les élections américaines de mi-mandat, le Financial Times évoquait un ralentissement de l’inflation aux États-Unis, un enthousiasme des marchés, et la possibilité de voir désormais la Fed lâcher du lest dans sa démarche de hausse des taux d’intérêt – un timing stratégique, l’augmentation des prix pétroliers ayant pris fin en juin, et les variations des prix étant dans l’ensemble restées faibles depuis le mois de juillet. L’élection achevée, il est désormais raisonnable d’admettre les faits.