NEW DELHI – Le processus de sélection du prochain directeur général du Fonds monétaire international doit changer. En particulier, la tradition de choisir un Européen pour ce poste – basée sur un « gentlemen agreement » injuste et anachronique conclu avec les Etats-Unis lorsque l'institution a été créée il y a 75 ans – doit être abandonnée. Mais, plus important encore, l’approche suivie de longue date par le FMI pour accorder ses prêts devrait être transformée.
NEW DELHI – Le processus de sélection du prochain directeur général du Fonds monétaire international doit changer. En particulier, la tradition de choisir un Européen pour ce poste – basée sur un « gentlemen agreement » injuste et anachronique conclu avec les Etats-Unis lorsque l'institution a été créée il y a 75 ans – doit être abandonnée. Mais, plus important encore, l’approche suivie de longue date par le FMI pour accorder ses prêts devrait être transformée.