AMSTERDAM/MONTRÉAL – Un scientifique chinois ayant récemment affirmé avoir créé les premiers bébés génétiquement modifiés de l’histoire, un nouveau sentiment d’urgence gagne les discussions autour de l’éthique ainsi que de la responsabilité sociale et personnelle concernant la capacité de créer des embryons humains génétiquement modifiés. Un certain nombre de technologies nouvelles, parmi lesquelles l’« édition de base », soulèvent même le spectre des « fermes à embryons », entraînant plusieurs appels à une réévaluation de la manière dont est réglementée la recherche sur les embryons.
AMSTERDAM/MONTRÉAL – Un scientifique chinois ayant récemment affirmé avoir créé les premiers bébés génétiquement modifiés de l’histoire, un nouveau sentiment d’urgence gagne les discussions autour de l’éthique ainsi que de la responsabilité sociale et personnelle concernant la capacité de créer des embryons humains génétiquement modifiés. Un certain nombre de technologies nouvelles, parmi lesquelles l’« édition de base », soulèvent même le spectre des « fermes à embryons », entraînant plusieurs appels à une réévaluation de la manière dont est réglementée la recherche sur les embryons.