MEXICO CITY – Les partisans du défunt président vénézuélien Hugo Chávez, comme d’ailleurs beaucoup de ses détracteurs, soulignent deux accomplissements majeurs qui semble-t-il marqueront son héritage. Tout d’abord, la part de population vivant sous le seuil de pauvreté a diminué jusqu’aux alentours de 28% en 2012, alors que ce pourcentage avait atteint un pic de 63% en 2003 (chiffre qui s’élevait toutefois à 46% trois ans auparavant, au commencement du premier mandat de Chávez). Deuxièmement, l’homme aurait permis de redonner à une majorité de Vénézuéliens un sentiment d’identité, de fierté et de dignité, longtemps étouffé par une oligarchie blanche corrompue et élitiste.
MEXICO CITY – Les partisans du défunt président vénézuélien Hugo Chávez, comme d’ailleurs beaucoup de ses détracteurs, soulignent deux accomplissements majeurs qui semble-t-il marqueront son héritage. Tout d’abord, la part de population vivant sous le seuil de pauvreté a diminué jusqu’aux alentours de 28% en 2012, alors que ce pourcentage avait atteint un pic de 63% en 2003 (chiffre qui s’élevait toutefois à 46% trois ans auparavant, au commencement du premier mandat de Chávez). Deuxièmement, l’homme aurait permis de redonner à une majorité de Vénézuéliens un sentiment d’identité, de fierté et de dignité, longtemps étouffé par une oligarchie blanche corrompue et élitiste.