LONDRES – Face à l’utilisation d’armes chimiques en Syrie, l’annonce d’un sommet d’urgence réunissant cette semaine en Jordanie les responsables militaires américains, britanniques, français, allemands, italiens, canadiens, turcs, saoudiens et qataris est une bonne chose. La politique occidentale se trouve à la croisée des chemins : s’agit-il de rester spectateurs ou au contraire d’agir, de prendre le pas sur les événements ou de se contenter de les subir.
LONDRES – Face à l’utilisation d’armes chimiques en Syrie, l’annonce d’un sommet d’urgence réunissant cette semaine en Jordanie les responsables militaires américains, britanniques, français, allemands, italiens, canadiens, turcs, saoudiens et qataris est une bonne chose. La politique occidentale se trouve à la croisée des chemins : s’agit-il de rester spectateurs ou au contraire d’agir, de prendre le pas sur les événements ou de se contenter de les subir.