LE CAIRE – Dans les mois qui ont suivi la démission du président Hosni Moubarak, ses successeurs ont manifesté le désir de donner une nouvelle inflexion à la politique étrangère égyptienne en tendant la main vers d’anciens ennemis. Le gouvernement égyptien a accueilli des diplomates iraniens et fait part de son soutien au groupe palestinien Hamas. Ces ouvertures ont été interprétées par certains analystes comme une expression de la volonté de l’Égypte à mener une diplomatie qui ne soit pas inféodée aux intérêts américains.
LE CAIRE – Dans les mois qui ont suivi la démission du président Hosni Moubarak, ses successeurs ont manifesté le désir de donner une nouvelle inflexion à la politique étrangère égyptienne en tendant la main vers d’anciens ennemis. Le gouvernement égyptien a accueilli des diplomates iraniens et fait part de son soutien au groupe palestinien Hamas. Ces ouvertures ont été interprétées par certains analystes comme une expression de la volonté de l’Égypte à mener une diplomatie qui ne soit pas inféodée aux intérêts américains.