OXFORD – Les moteurs de la croissance des villes européennes et nord-américaines au XIXe et au XXe siècles sont les mêmes que ceux qui entraînent aujourd’hui l’urbanisation du Brésil, de la Chine, de l’Inde, du Mexique, de la Russie et d’autres économies émergentes. La croissance de ces villes a été accélérée et amplifiée par les technologies productives, une migration interne rapide et des taux nets de reproduction élevés. Plusieurs de ces villes se sont énormément développées, à un rythme très soutenu. En fait, à l’exception de trois métropoles, les 20 plus grandes villes du monde sont situées dans les pays émergents.
OXFORD – Les moteurs de la croissance des villes européennes et nord-américaines au XIXe et au XXe siècles sont les mêmes que ceux qui entraînent aujourd’hui l’urbanisation du Brésil, de la Chine, de l’Inde, du Mexique, de la Russie et d’autres économies émergentes. La croissance de ces villes a été accélérée et amplifiée par les technologies productives, une migration interne rapide et des taux nets de reproduction élevés. Plusieurs de ces villes se sont énormément développées, à un rythme très soutenu. En fait, à l’exception de trois métropoles, les 20 plus grandes villes du monde sont situées dans les pays émergents.