DÜSSELDORF – Partout dans le monde, la santé est de plus en plus considérée comme un pilier de la croissance économique. Les populations en bonne santé sont mieux à même de produire, de commercer et d’innover, tandis que les populations en mauvaise santé exercent une pression sur les budgets publics, et créent des risques qui découragent les échanges économiques. Cette logique figure noir sur blanc dans de nombreux rapports de l’Union européenne, et monte même en puissance aux États-Unis, malgré l’approche de « l’Amérique d’abord » adoptée par l’administration du président Donald Trump dans les affaires internationales.
DÜSSELDORF – Partout dans le monde, la santé est de plus en plus considérée comme un pilier de la croissance économique. Les populations en bonne santé sont mieux à même de produire, de commercer et d’innover, tandis que les populations en mauvaise santé exercent une pression sur les budgets publics, et créent des risques qui découragent les échanges économiques. Cette logique figure noir sur blanc dans de nombreux rapports de l’Union européenne, et monte même en puissance aux États-Unis, malgré l’approche de « l’Amérique d’abord » adoptée par l’administration du président Donald Trump dans les affaires internationales.