BUENOS AIRES – La confirmation de Raul Castro à son poste de successeur de son frère Fidel témoigne que son Cuba renforce l’hégémonie de l’armée, ce qui ne présage rien de très positif quant à l’éventualité d’une ouverture politique ou économique proche. C’est ce qu’a confirmé tout récemment le sixième Congrès du Parti Communiste cubain qui n’a produit que peu de nouvelles propositions et s’est plutôt contenté de ressasser les mêmes vieilles antiennes.
BUENOS AIRES – La confirmation de Raul Castro à son poste de successeur de son frère Fidel témoigne que son Cuba renforce l’hégémonie de l’armée, ce qui ne présage rien de très positif quant à l’éventualité d’une ouverture politique ou économique proche. C’est ce qu’a confirmé tout récemment le sixième Congrès du Parti Communiste cubain qui n’a produit que peu de nouvelles propositions et s’est plutôt contenté de ressasser les mêmes vieilles antiennes.