RAMALLAH – Lorsque les représentants des deux principales factions palestiniennes, le Fatah et le Hamas, ont signé un nouvel accord de réconciliation au Caire le 12 octobre, les projecteurs n’étaient pas braqués sur les signataires, Azzam al-Ahmad, membre du Comité central du Fatah et Saleh al-Arouri, vice-président du bureau politique du Hamas, mais sur l’homme qui se tenait debout derrière eux : le général Khaled Fawzy, chef des services de renseignement égyptiens.
RAMALLAH – Lorsque les représentants des deux principales factions palestiniennes, le Fatah et le Hamas, ont signé un nouvel accord de réconciliation au Caire le 12 octobre, les projecteurs n’étaient pas braqués sur les signataires, Azzam al-Ahmad, membre du Comité central du Fatah et Saleh al-Arouri, vice-président du bureau politique du Hamas, mais sur l’homme qui se tenait debout derrière eux : le général Khaled Fawzy, chef des services de renseignement égyptiens.