ATHENES – Une même erreur de raisonnement se propage dans les médias du monde entier à propos des négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers. Cette erreur, que l'on trouve dans un commentaire récent de Philip Stephens du Financial Times, consiste à dire que « Athènes ne peut pas ou ne veut pas (ou bien ne peut ni ne veut) mettre en œuvre un programme de réforme économique. » Une fois cette erreur présentée comme fait, il est tout à fait normal que les journaux insistent sur la façon dont notre gouvernement, selon les termes de Stephens, « gaspille la confiance et la bonne volonté de ses partenaires de la zone euro. »
ATHENES – Une même erreur de raisonnement se propage dans les médias du monde entier à propos des négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers. Cette erreur, que l'on trouve dans un commentaire récent de Philip Stephens du Financial Times, consiste à dire que « Athènes ne peut pas ou ne veut pas (ou bien ne peut ni ne veut) mettre en œuvre un programme de réforme économique. » Une fois cette erreur présentée comme fait, il est tout à fait normal que les journaux insistent sur la façon dont notre gouvernement, selon les termes de Stephens, « gaspille la confiance et la bonne volonté de ses partenaires de la zone euro. »