WASHINGTON, DC – La récente visite au département d’État américain de Dimitri Rogozin, représentant spécial du chef d’État russe auprès de l’Otan chargé de la coopération sur le système de défense antimissile, a souligné l’un des nombreux obstacles que rencontre cette coopération russo-américaine sur la question du « bouclier » antimissile. Les ministères russes des Affaires étrangères et de la Défense ont chacun fait valoir leur suprématie sur ce dialogue avec les États-Unis, mais avec des priorités et des perspectives divergentes. La diplomatie russe a en général, mais pas toujours, adopté une ligne plus dure, tandis que de son côté Rogozin poursuit son propre ordre du jour concernant la défense antimissile.
WASHINGTON, DC – La récente visite au département d’État américain de Dimitri Rogozin, représentant spécial du chef d’État russe auprès de l’Otan chargé de la coopération sur le système de défense antimissile, a souligné l’un des nombreux obstacles que rencontre cette coopération russo-américaine sur la question du « bouclier » antimissile. Les ministères russes des Affaires étrangères et de la Défense ont chacun fait valoir leur suprématie sur ce dialogue avec les États-Unis, mais avec des priorités et des perspectives divergentes. La diplomatie russe a en général, mais pas toujours, adopté une ligne plus dure, tandis que de son côté Rogozin poursuit son propre ordre du jour concernant la défense antimissile.