PRINCETON – Les résultats des élections allemandes offrent un étrange paradoxe : l’Union chrétienne-démocrate de la chancelière Angela Merkel est indubitablement le parti le plus puissant, et il est impensable qu’une coalition puisse se constituer sans elle, mais ni la CDU ni son ancien partenaire de la coalition gouvernementale, le parti social-démocrate, n’ont brillé. La première réaction de nombreux dirigeants du SPD, après la piètre performance du parti (20,4% des voix, contre 25,7% en 2013), aura été de se prononcer en faveur d’une cure d’opposition.
PRINCETON – Les résultats des élections allemandes offrent un étrange paradoxe : l’Union chrétienne-démocrate de la chancelière Angela Merkel est indubitablement le parti le plus puissant, et il est impensable qu’une coalition puisse se constituer sans elle, mais ni la CDU ni son ancien partenaire de la coalition gouvernementale, le parti social-démocrate, n’ont brillé. La première réaction de nombreux dirigeants du SPD, après la piètre performance du parti (20,4% des voix, contre 25,7% en 2013), aura été de se prononcer en faveur d’une cure d’opposition.