LONDRES – Des dirigeants mondiaux qui ne se s’étaient pas rencontrés physiquement depuis presque deux ans se sont retrouvés au sommet du G7 qui s’est ouvert vendredi. C’est la première réunion de cette sorte à laquelle participait le président des États-Unis Joe Biden, et ce sera la dernière de la chancelière allemande Angela Merkel. Ce rassemblement fonctionnera aussi comme la première mise à l’épreuve de cette « Grande-Bretagne globale », slogan du Premier ministre Boris Johnson, répété à l’envi, dont nous verrons ce qu’il signifie réellement.
LONDRES – Des dirigeants mondiaux qui ne se s’étaient pas rencontrés physiquement depuis presque deux ans se sont retrouvés au sommet du G7 qui s’est ouvert vendredi. C’est la première réunion de cette sorte à laquelle participait le président des États-Unis Joe Biden, et ce sera la dernière de la chancelière allemande Angela Merkel. Ce rassemblement fonctionnera aussi comme la première mise à l’épreuve de cette « Grande-Bretagne globale », slogan du Premier ministre Boris Johnson, répété à l’envi, dont nous verrons ce qu’il signifie réellement.