PARIS – Après les attentats terroristes de Paris en novembre dernier – une série d’attaques soigneusement coordonnées, lancées par des agresseurs multiples, qui firent 130 morts – il y eut beaucoup de souffrance et de peur, mais un esprit d’unité et de résistance parvint aussi à se manifester. Depuis le massacre de Nice, le 14-Juillet – où un seul agresseur, ayant reçu l’aide de cinq hommes qui semblent plus répondre au qualificatif de malfaiteurs que d’islamistes radicaux, a lancé son camion dans la foule, tuant 84 personnes, dont de nombreux enfants – les sentiments dominants semblent en revanche l’impuissance et la colère.
PARIS – Après les attentats terroristes de Paris en novembre dernier – une série d’attaques soigneusement coordonnées, lancées par des agresseurs multiples, qui firent 130 morts – il y eut beaucoup de souffrance et de peur, mais un esprit d’unité et de résistance parvint aussi à se manifester. Depuis le massacre de Nice, le 14-Juillet – où un seul agresseur, ayant reçu l’aide de cinq hommes qui semblent plus répondre au qualificatif de malfaiteurs que d’islamistes radicaux, a lancé son camion dans la foule, tuant 84 personnes, dont de nombreux enfants – les sentiments dominants semblent en revanche l’impuissance et la colère.