NEW DELHI – Pour la plupart des détracteurs de la mondialisation, le libre-échange est l’ennemi numéro un, responsable du creusement des inégalités et de l’aggravation de l’insécurité économique parmi les travailleurs. Cette logique explique le soutien à l’augmentation des droits de douanes décidée par le président américain Donald Trump. Mais pourquoi alors ce message résonne-t-il bien au-delà des États-Unis, et des autres économies développées, jusqu’à concerner les travailleurs de pays en voie de développement pourtant habituellement décrits comme les principaux bénéficiaires de la mondialisation ?
NEW DELHI – Pour la plupart des détracteurs de la mondialisation, le libre-échange est l’ennemi numéro un, responsable du creusement des inégalités et de l’aggravation de l’insécurité économique parmi les travailleurs. Cette logique explique le soutien à l’augmentation des droits de douanes décidée par le président américain Donald Trump. Mais pourquoi alors ce message résonne-t-il bien au-delà des États-Unis, et des autres économies développées, jusqu’à concerner les travailleurs de pays en voie de développement pourtant habituellement décrits comme les principaux bénéficiaires de la mondialisation ?