GENÈVE – Pendant que les délégués de 189 pays se réunissent pour préparer la prochaine Conférence d’examen du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), programmée pour 2015, je me remémore ma première séance d’information officielle à laquelle j’assistais à titre de jeune ministre du gouvernement australien au début des années 1980, portant sur la stratégie nucléaire des États-Unis. La leçon m’était donnée, dans les entrailles du Pentagone, par un homme qui ressemblait étrangement à un Woody Allen vêtu d’un sarrau blanc et muni d’un pointeur.
GENÈVE – Pendant que les délégués de 189 pays se réunissent pour préparer la prochaine Conférence d’examen du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), programmée pour 2015, je me remémore ma première séance d’information officielle à laquelle j’assistais à titre de jeune ministre du gouvernement australien au début des années 1980, portant sur la stratégie nucléaire des États-Unis. La leçon m’était donnée, dans les entrailles du Pentagone, par un homme qui ressemblait étrangement à un Woody Allen vêtu d’un sarrau blanc et muni d’un pointeur.