LONDRES – Nous vivons probablement l’année la plus lourde de conséquences pour les migrations et la protection des réfugiés depuis la signature de la Convention de Genève, en 1951. Les choix que nous allons faire contribueront à créer ou bien des sociétés plus ouvertes, fondées sur la coopération internationale, ou bien à l’inverse encourageront des États autoritaires et leurs objectifs nationalistes.
LONDRES – Nous vivons probablement l’année la plus lourde de conséquences pour les migrations et la protection des réfugiés depuis la signature de la Convention de Genève, en 1951. Les choix que nous allons faire contribueront à créer ou bien des sociétés plus ouvertes, fondées sur la coopération internationale, ou bien à l’inverse encourageront des États autoritaires et leurs objectifs nationalistes.