NEW YORK – La seule et unique surprise autour de l’arrestation de sept dirigeants de la FIFA dans un hôtel suisse, au petit matin du 27 mai, réside tout simplement dans la survenance d’une telle arrestation. La plupart d’entre nous pensions que ces hommes privilégiés, en costume de soie, qui évoluent à la tête de la fédération internationale de football, étaient pour leur part au-dessus des lois. Quelle que soit la nature des rumeurs ou rapports ici et là publiés autour de prétendus pots-de-vin, dessous-de-table, trucages électoraux et autres pratiques douteuses, le président de la FIFA Joseph « Sepp » Blatter ainsi que ses collègues et associés semblaient toujours jusqu’à présent s’en sortir sans encombre.
NEW YORK – La seule et unique surprise autour de l’arrestation de sept dirigeants de la FIFA dans un hôtel suisse, au petit matin du 27 mai, réside tout simplement dans la survenance d’une telle arrestation. La plupart d’entre nous pensions que ces hommes privilégiés, en costume de soie, qui évoluent à la tête de la fédération internationale de football, étaient pour leur part au-dessus des lois. Quelle que soit la nature des rumeurs ou rapports ici et là publiés autour de prétendus pots-de-vin, dessous-de-table, trucages électoraux et autres pratiques douteuses, le président de la FIFA Joseph « Sepp » Blatter ainsi que ses collègues et associés semblaient toujours jusqu’à présent s’en sortir sans encombre.