MADRID – « Nous devons éduquer nos maîtres », aurait dit l’homme d’État anglais Robert Lowe à ses collègues de la chambre des Communes, après le vote de la deuxième loi d’extension du suffrage, en 1867, qui a ajoutait plus d’un million d’inscrits aux listes électorales. Pour Lowe, l’éducation de la population était le meilleur moyen d’étendre l’accès à la gouvernance de la Grande-Bretagne.
MADRID – « Nous devons éduquer nos maîtres », aurait dit l’homme d’État anglais Robert Lowe à ses collègues de la chambre des Communes, après le vote de la deuxième loi d’extension du suffrage, en 1867, qui a ajoutait plus d’un million d’inscrits aux listes électorales. Pour Lowe, l’éducation de la population était le meilleur moyen d’étendre l’accès à la gouvernance de la Grande-Bretagne.