BERLIN – Lors de son dernier discours devant le Parlement européen, en 1995, le président français François Mitterrand, dont tous pouvaient percevoir que la santé chancelait, trouva des mots indélébiles pour mettre en garde l’Europe contre son grand fléau : « Le Nationalisme, c’est la guerre ! »
BERLIN – Lors de son dernier discours devant le Parlement européen, en 1995, le président français François Mitterrand, dont tous pouvaient percevoir que la santé chancelait, trouva des mots indélébiles pour mettre en garde l’Europe contre son grand fléau : « Le Nationalisme, c’est la guerre ! »