On peut faire confiance aux Etats-Unis, disait Churchill, pour toujours finir par faire le choix qui s’impose, mais seulement après avoir épuisé toutes les alternatives. Depuis dix-huit mois cette remarque ironique sert de feuille de route à l’Europe : celle-ci finit par s’accorder sur les décisions nécessaires, mais toujours en dernière extrémité.
On peut faire confiance aux Etats-Unis, disait Churchill, pour toujours finir par faire le choix qui s’impose, mais seulement après avoir épuisé toutes les alternatives. Depuis dix-huit mois cette remarque ironique sert de feuille de route à l’Europe : celle-ci finit par s’accorder sur les décisions nécessaires, mais toujours en dernière extrémité.