BERKELEY - Il est difficile d’imaginer que la crise européenne puisse encore s’aggraver, mais c’est pourtant ce qui vient de se produire. Lors du sommet qui s’est tenu il y a deux semaines, les dirigeants de l’Union Européenne ne sont parvenus à produire rien de bien substantiel. La Chine et le Brésil sont clairement réticents à l’idée de venir au secours de l’Europe en apportant une injection massive de liquidités étrangères. Et le récent sommet du G20 à Cannes n’a débouché sur aucun accord établissant les mesures éventuelles qui auraient pu permettre de résoudre la crise.
BERKELEY - Il est difficile d’imaginer que la crise européenne puisse encore s’aggraver, mais c’est pourtant ce qui vient de se produire. Lors du sommet qui s’est tenu il y a deux semaines, les dirigeants de l’Union Européenne ne sont parvenus à produire rien de bien substantiel. La Chine et le Brésil sont clairement réticents à l’idée de venir au secours de l’Europe en apportant une injection massive de liquidités étrangères. Et le récent sommet du G20 à Cannes n’a débouché sur aucun accord établissant les mesures éventuelles qui auraient pu permettre de résoudre la crise.