PARIS – Se pourrait-il que les non-Européens soient nettement moins pessimistes à l’égard de l’Europe que les Européens eux-mêmes ? La distance serait-elle une condition préalable à la formulation d’un point de vue plus équilibré quant à la difficile situation du continent ?
PARIS – Se pourrait-il que les non-Européens soient nettement moins pessimistes à l’égard de l’Europe que les Européens eux-mêmes ? La distance serait-elle une condition préalable à la formulation d’un point de vue plus équilibré quant à la difficile situation du continent ?