MADRID – Les pauvres, dans les pays avancés, ne décident pas souvent du résultat d’une élection. Ils font pourtant l’objet d’une cour assidue dans la campagne qui se déroule aujourd’hui en Italie. L’ancien Premier ministre, Silvio Berlusconi, qui dirige le parti Forza Italia, propose un « revenu de dignité », tandis que Beppe Grillo, l’ancien acteur et humoriste, qui dirige dans l’ombre le mouvement Cinq Étoiles, a appelé lui aussi à un « revenu citoyen ».
MADRID – Les pauvres, dans les pays avancés, ne décident pas souvent du résultat d’une élection. Ils font pourtant l’objet d’une cour assidue dans la campagne qui se déroule aujourd’hui en Italie. L’ancien Premier ministre, Silvio Berlusconi, qui dirige le parti Forza Italia, propose un « revenu de dignité », tandis que Beppe Grillo, l’ancien acteur et humoriste, qui dirige dans l’ombre le mouvement Cinq Étoiles, a appelé lui aussi à un « revenu citoyen ».