PARIS – La dynamique du populisme ne cesse de croître partout en Europe, à mesure que les pays en difficulté économique, comme les plus prospères, démontrent de plus en plus de frustration à l’égard des élites politiques au pouvoir. Il est toutefois peu probable que les partis populistes prennent le contrôle de quelque gouvernement européen dans un avenir proche, même là où le risque semble actuellement le plus élevé, dans des pays comme la Hongrie, la Grèce, et la France. Que ce soit par crainte ou par bon sens, la majorité des électeurs demeurent réticents face à la perspective d’un isolement à l’écart du reste de l’Europe.
PARIS – La dynamique du populisme ne cesse de croître partout en Europe, à mesure que les pays en difficulté économique, comme les plus prospères, démontrent de plus en plus de frustration à l’égard des élites politiques au pouvoir. Il est toutefois peu probable que les partis populistes prennent le contrôle de quelque gouvernement européen dans un avenir proche, même là où le risque semble actuellement le plus élevé, dans des pays comme la Hongrie, la Grèce, et la France. Que ce soit par crainte ou par bon sens, la majorité des électeurs demeurent réticents face à la perspective d’un isolement à l’écart du reste de l’Europe.