ROME – Il y a un an, peu de gens auraient parié que l’Union européenne, toujours sous le choc du rejet du Traité constitutionnel de 2005, serait sur le point de ratifier le nouveau Traité de réforme adopté à Lisbonne en décembre dernier. Pour certains, que le Royaume-Uni puisse le ratifier avant même les pays traditionnellement « proeuropéens », comme l’Italie, met tout simplement en relief le manque d’initiatives nouvelles et audacieuses du Traité pour accélérer l’unification européenne. Mais ces détracteurs ont tort.
ROME – Il y a un an, peu de gens auraient parié que l’Union européenne, toujours sous le choc du rejet du Traité constitutionnel de 2005, serait sur le point de ratifier le nouveau Traité de réforme adopté à Lisbonne en décembre dernier. Pour certains, que le Royaume-Uni puisse le ratifier avant même les pays traditionnellement « proeuropéens », comme l’Italie, met tout simplement en relief le manque d’initiatives nouvelles et audacieuses du Traité pour accélérer l’unification européenne. Mais ces détracteurs ont tort.